ZoomFactor Architectes
Maisons mitoyennes, Uccle, Belgique
Une mise en œuvre « haute-couture » pour une réécriture contemporaine de l’architecture locale.
Implanté dans un terrain en pente à la végétation dense, le projet a été motivé par une double volonté d’intégration urbaine et paysagère. “Le bâtiment a une façade sur rue raisonnable, cohérente avec les volumes des petites maisons environnantes et des faitages désaxés qui accentuent l’effet de proximité formelle mais la forme s’évase à l’arrière pour s’ouvrir et laisser place à la vaste surface habitable souhaitée dont une partie est abritée dans un volume semi-enterré qui utilise la pente du terrain » explique l’architecte Basile Grange.
Autre particularité du projet, son implantation sur un terrain envahi par la végétation, car abandonné depuis plusieurs années. « Avec ses deux lignes de force, le choix de la tuile s’est imposé à nous comme un choix cohérent du point de vue urbain et sur cette parcelle végétalisée.
C’est le matériau familier dans le quartier. En utilisant la même tuile en toiture et en façade, en retournant le matériau nous apportons une écriture très pure des volumes dans une mise en œuvre exigeante et parfaitement maîtrisée : chéneaux encastrés, continuité visuelle parfaite depuis le toit jusqu’au sol, travail de précision sur le retournement toit/façade, le traitement des angles et des entourages de baies. Nous voulons lire les volumes plus que la maison, cela répond à notre recherche de réinterprétation de la maison traditionnelle ».
Crédits photos : Victor Grandgeorge
Maisons mitoyennes, Uccle, Belgique
Une mise en œuvre « haute-couture » pour une réécriture contemporaine de l’architecture locale.
Implanté dans un terrain en pente à la végétation dense, le projet a été motivé par une double volonté d’intégration urbaine et paysagère. “Le bâtiment a une façade sur rue raisonnable, cohérente avec les volumes des petites maisons environnantes et des faitages désaxés qui accentuent l’effet de proximité formelle mais la forme s’évase à l’arrière pour s’ouvrir et laisser place à la vaste surface habitable souhaitée dont une partie est abritée dans un volume semi-enterré qui utilise la pente du terrain » explique l’architecte Basile Grange.
Autre particularité du projet, son implantation sur un terrain envahi par la végétation, car abandonné depuis plusieurs années. « Avec ses deux lignes de force, le choix de la tuile s’est imposé à nous comme un choix cohérent du point de vue urbain et sur cette parcelle végétalisée.
C’est le matériau familier dans le quartier. En utilisant la même tuile en toiture et en façade, en retournant le matériau nous apportons une écriture très pure des volumes dans une mise en œuvre exigeante et parfaitement maîtrisée : chéneaux encastrés, continuité visuelle parfaite depuis le toit jusqu’au sol, travail de précision sur le retournement toit/façade, le traitement des angles et des entourages de baies. Nous voulons lire les volumes plus que la maison, cela répond à notre recherche de réinterprétation de la maison traditionnelle ».
Crédits photos : Victor Grandgeorge
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