Un simple déménagement… et tout vacille.
Dans cette première partie du roman «Le Déménagement», Georges Simenon nous entraîne dans une atmosphère troublante, où chaque détail quotidien semble chargé d’angoisse sourde. Un homme ordinaire, marié, père de famille, s’apprête à quitter son appartement parisien. Mais sous la banalité de ce changement, une tension sourde monte : il ne s’agit pas que de cartons et d’adresses — il s’agit d’un passé qu’on tente de fuir, de silences pesants, et d’un avenir incertain.
Simenon excelle à dépeindre l’invisible : les regards évités, les gestes suspendus, les pensées refoulées.
Peu à peu, le portrait d’un homme au bord du vide se dessine. La narration, fine et tendue, installe un malaise qui ne fait que croître.
Est-ce le changement de lieu qui dérange ? Ou bien ce qu’il révèle sur celui qui déménage ?
Avec sa plume incisive et son sens inégalé du suspense psychologique, Simenon fait de ce déménagement une descente aux enfers subtile et implacable.
Dans cette première partie du roman «Le Déménagement», Georges Simenon nous entraîne dans une atmosphère troublante, où chaque détail quotidien semble chargé d’angoisse sourde. Un homme ordinaire, marié, père de famille, s’apprête à quitter son appartement parisien. Mais sous la banalité de ce changement, une tension sourde monte : il ne s’agit pas que de cartons et d’adresses — il s’agit d’un passé qu’on tente de fuir, de silences pesants, et d’un avenir incertain.
Simenon excelle à dépeindre l’invisible : les regards évités, les gestes suspendus, les pensées refoulées.
Peu à peu, le portrait d’un homme au bord du vide se dessine. La narration, fine et tendue, installe un malaise qui ne fait que croître.
Est-ce le changement de lieu qui dérange ? Ou bien ce qu’il révèle sur celui qui déménage ?
Avec sa plume incisive et son sens inégalé du suspense psychologique, Simenon fait de ce déménagement une descente aux enfers subtile et implacable.
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- Déménageur - Déménagement
- Mots-clés
- Le Déménagement, Georges Simenon, roman noir
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