#8 Andry : l’architecte qui vit sa vie de rêves

Merci ! Partagez avec vos amis !

Vous avez aimé cette vidéo, merci de votre vote !

Ajoutées 1 année by admin

29 Vues

Vivre de l’architecture n’est pas accessible à tout le monde. Rêve pour certains et réalité pour d’autres, Andry fait parti de la deuxième option. Malgache, 41 ans, il a vécu la majeure partie de sa vie à Mada. Parti de Tana pour étudier l’Architecture, la seule voie qui s’ouvre à lui est l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture à Nantes. Il est donc parti pour 7 ans mais ça, il ne le sait pas encore. Un français moyen en poche et une bonne dose de motivation, Andry s’envole et désillusionne très vite. Dépression, manque d’argent, tracas du quotidien, il a du mal à s’adapter à la vie française et nul doute qu’il faut se relever.

Les épreuves vont être rudes et la difficulté de s’adapter se fait voir pour beaucoup de malgaches autour de lui. Son côté malagasy solidaire prend alors le dessus : il crée une association pour les malagasy qui viennent d’arriver à Nantes. L’objectif : mieux les préparer à leur arrivée. Ce séjour en France on peut le dire, a changé sa vie.

Après 7 ans en France, Andry le sait : son séjour en France touche à sa fin. Il décide de rentrer au pays. Il a un objectif bien établi en tête : devenir architecte.

Avec Andry, on sent tout de suite les chocs de génération : les jeunes d’aujourd’hui sont moins formés, moins motivés et aussi ont moins galéré. Vrai ou faux, ce n’est pas la question, c’est sa vision.

Si j’ai appris une chose lors de cette conversation, c’est qu’Andry est un homme passionné par son métier et par son pays. Madagascar est rempli d’opportunités. Il insistera sur ce point et honnêtement, il ne m’a pas laissé indifférente.

Alors, si vous souhaitez en savoir un peu plus sur sa vision et surtout si vous souhaitez écouter un homme qui on peut le dire veut vous convaincre de venir vivre à Mada, prenez une heure devant vous pour écouter notre conversation. Je vous le promets, ce ne sera pas une perte de temps.

Je laisse désormais place à notre conversation avec Andry. Bonne écoute !